- oh devinez avec quoi, il mesure les meubles chez ikea.

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but darling, stay with me.
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rhys malloy
- nom complet : malloy, incontournable pour les fans de football. rhys, incontournable pour tous. - âge, date et lieu de naissance : trente-quatre ans, ce qu'il prend très mal, au demeurant. et c'est dans une banlieu de londres, en angleterre qu'il a vu le jour un douze juin. - origines et nationalité : si on pourrait trouver une petite trace de sang australien dans ses veines, rhys est purement anglais, depuis assez de générations pour qu'ils se considèrent tous purs. - occupation : ancien footballeur, il coule aujourd'hui des jours heures à profiter de son temps libre. (il se fait chier comme un rat mort, donc). - statut civil : doublement marié (ils ont renouvelé leurs vœux lors d'un voyage au Brésil il y a trois ans). - traits de caractère : joyeux, trublion, blagueur, facile, un brin arrogant, un poil vaniteux, ouvert, très centré sur lui même. - aspirations et désirs : depuis sa retraite, il y a peu de choses dont rhys aspire et qui ne soit pas directement lié au football. il erre dans sa villa sans savoir que faire de sa petite personne et se sent bien misérable. il envisage, évidemment une reconversion mais reste tout de même objectif quant à ses capacités. - groupe : autumnal leaves.
mind over mattervous considérez-vous comme heureux ? quelle est votre définition du bonheur ? - mettons que jusqu'ici, rhys se considère comme parfaitement accompli. sa vie s'est déroulée sans aucun heurt, exactement comme il l'avait prévu. si ce n'est cette retraite qui vient lui couper les jambes, détruire ses ambitions grandissantes. s'il se considère comme heureux? peut-être. la plupart des jours. il n'est pas malheureux en tous les cas, disons qu'il se retrouve au milieu. qu'en est-il de votre vie spirituelle ? quelle est son importance dans votre quotidien ? - il pratique le yoga, parfois, avec sa femme. ça compte, non?

(un) sans qu’il n’y puisse grand-chose, rhys véhicule si bien le cliché des footballeurs tels qu’on les imagine. plus bons à grand-chose dès qu’on leur retire le ballon. benêt serait certainement le mot utilisé. il n’est pas méchant, rhys, il est juste un peu limité. (deux) il n’a jamais vraiment vécu une vie de célibataire débridé, ce qui ne l’a pas empêché de vivre dans un taudis pendant des années, entre cadavres de bouteilles de bière et carton de pizzas. (trois) il mène, depuis le début officiel de sa carrière, de son ex carrière, une hygiène de vie irréprochable. il suivait avec une précision mathématique les instructions de sa nutritionniste, ne touchait plus à l’alcool, ou très peu et jamais aux drogues. il a tendance à se rattraper grandement depuis qu’il est libre et pourrait s’approvisionner en barils de bières, ça leur couterait moins cher aux malloy. (quatre) en plus d’être le parfait exemple du footballeur, il est aussi le cliché de l’histoire d’amour d’ado qui tourne en conte de fée. il connaît sa femme depuis maintenant seize ans, et sort avec elle depuis seize ans. il lui a tout de même fallu une journée pour lui demander de sortir avec lui, pour lui ordonner, plutôt, ne laissant aucun choix à cette nouvelle déesse grecque sortie de nulle part. contrairement à beaucoup, jamais aucune rumeur n’est sortie comme quoi il tromperait sa femme, ils forment, pour beaucoup, le couple parfait par excellence. (cinq) mais c’est parce que les choses sont claires entre eux depuis bien longtemps, rhys est bisexuel, et a beaucoup de mal à refréner ses envies du même sexe. aussi, babi est parfaitement au courant de ses aventures extras conjugales, pour y participer, la plupart du temps. si rhys est ce que l’on appelle communément un queutard, ce n’est pas un connard et l’idée de trahir sa femme lui est difficile à accepter. Il est loyal, c’est bien une qualité que l’on ne peut lui ôter. (six) ravenel est loin d’être la ville qu’il aurait choisi pour sa retraite, pas même dans son top quatre-cent cinquante, mais babi ne lui a pas laissé le choix, c’est sa ville natale, elle veut y retourner. ils sont déjà venus, encore et encore, au cours des dernières années, notamment parce que sa meilleure amie habite là bas mais jamais trop longtemps. et ça fait déjà, trop longtemps, qu’ils sont là, pour lui. (sept) un besoin de reconnaissance est puissamment ancré en lui. s’il achète le pain, il a besoin que sa femme lui dise merci, s’il marque le but du match, il a besoin que la foule hurle son nom. c’est ce qui lui manque le plus, cette notoriété, cette adulation. ici, il n’est pas grand-chose, qu’un brun parmi tant d’autre et il prend beaucoup (peut-être trop) de plaisir à lire l’envie dans les yeux des femmes qu’il croise.

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» Lexie — elle a quoi cette fille, les nichons parfumés à la bière ?
» J'ai vu des monstres avec des corps de filles
» n'entre pas dans mon âme avec tes chaussures.
» à m'asseoir cinq minutes, sur un banc avec toi.
» - le temps est assassin, et emporte avec lui les rires des enfants.