luxe, calme et volupté ∞ KAT.

Invité

Là, tout n'est qu'ordre et beauté.
© giphy/baudelaire
Katarina Rosebury
- nom complet : katarina rosebury. son patronyme à l'oreille vous dit sans doute quelque chose. la plupart du temps, son entourage la surnomme kat. - âge, date et lieu de naissance : la demoiselle a vu le jour il y a de ça 25 ans, le 21 septembre 1989, à NYC. - origines et nationalité : sa maman est espagnole, son papa purement américain. quant à katarina, elle dispose des deux nationalités, quelque chose auquel ses parents tenaient beaucoup - occupation : elle est l'héritière d'une grande marque de cosmétiques dont son père en est le fondateur, pas de quoi s'inquiéter pour ses finances donc. - statut civil : célibataire mais work in progress, il y a bien ce garçon qui fait fondre son cœur de fille. - traits de caractère : adorable, si la jeune femme interrogeait son entourage, cet adjectif interviendrait sans doute le premier, autant pour qualifier son joli minois que sa bienveillance à l'égard d'autrui. son statut social est peut-être en contradiction avec sa nature profondément gentille et généreuse mais Kat elle est comme ça, souriante, polie, avenante et sympathique. franche, cette qualité devient vite un défaut chez elle mais c'est pire qu'une pulsion, elle ne supporte ni le mensonge, ni l'hypocrisie. elle accorde une importance peu négligeable à la vérité et à la communication. fière, rancunière, dominante, elle supporte difficilement qu'une situation échappe à son contrôle. elle est dôtée d'un amour-propre à toute épreuve et elle se vexe assez facilement ce qui a le don d'exaspérer certaines de ses connaissances ; ils disent même que parfois, elle manque un peu d'humour et d'auto-dérision. distinguée, à la limite du coincée, elle est toujours tirée à quatre épingles et ne se laisse aller que rarement. - aspirations et désirs : difficile à dire. que peut-on vouloir quand on a déjà tout ? peut-être ce petit plus qui nous manque toujours, l'être humain est éternellement insatisfait. peut-être l'amour, avec un grand A. véritable fleur bleue : la grande maison, le mari parfait, les beaux enfants et le labrador semblent former son futur idéal - groupe : GOLD IN THE AIR OF SUMMER.
mind over mattervous considérez-vous comme heureux ? quelle est votre définition du bonheur ? - est-ce qu'être heureux c'est se lever le matin et sourire en pensant à la journée qui nous attend ? si c'est le cas, alors oui, on peut sûrement considérer que Katarina est heureuse. elle a tout ce qu'elle veut, et même parfois ce qu'elle n'aurait pas soupçonné vouloir un jour. certains pourraient dire que c'est lassant, mais elle, elle n'échangerait sa vie contre aucune autre. qu'en est-il de votre vie spirituelle ? quelle est son importance dans votre quotidien ? - Katarina est une jeune femme extrêmement terre-à-terre. Catholique, elle n'en est pourtant pas pratiquante et ne se rend dans une église que pour des rares occasions, comme la messe de Noël par exemple. Les fantômes, les esprits et autres manifestations divines, elle n'en croit pas un mot. En revanche, il lui effleure l'esprit que parfois, le paradis et l'enfer sont bien réels et elle s'applique à être une bonne personne pour ne pas brûler dans les flammes du deuxième.

Katarina est une jeune femme plutôt simple derrière son physique attrayant et son compte en banque bien garni. avec les garçons, elle est très timide et conservatrice. l'homme devra toujours faire le premier pas. elle est hétérosexuelle mais se faire draguer par des femmes ne la gène pas outre-mesure, elle aime plaire et s'en amuse beaucoup. de là à franchir certaines limites ? qui sait, un jour peut-être. elle lève les yeux au ciel quand on lui raconte une blague douteuse, elle ne les trouve jamais vraiment drôles. elle aime tenter de nouvelles choses, mais c'est une vraie chochotte : toujours peur de se casser un ongle, toujours peur de se faire mal, toujours peur de se faire peur. elle fait très attention à sa ligne mais paradoxalement, c'est une gourmande assumée. elle fait régulièrement des dons à des associations - en particulier quand celles-ci touchent de près ou de loin aux enfants ou aux animaux. elle est particulièrement sensible et les larmes lui montent facilement aux yeux sous le coup de l'énervement ou de la fatigue. elle s'implique énormément dans tout ce qu'elle fait, une façon pour elle de montrer que malgré son statut de privilégié, elle sait se rendre utile à la communauté. elle déteste les préjugés, quels qu'ils soient et ne supporte pas l'injustice ou les distinctions entre minorités. elle parle couramment l'espagnol. Espagne qu'elle a visité en long, en large et en travers avec ses parents. elle a longtemps vécu à new-york avant de déménager avec sa mère à Ravenel au moment du divorce de ses parents. ces derniers se sont séparés d'un commun-accord et sont restés en très bons termes à la plus grande joie de Katarina qui accorde une grande importance à sa famille. ils continuent de passer les fêtes de fin d'année ensemble et Katarina multiplie les voyages entre new-york et la caroline du sud. elle adore voyager, Londres et Paris sont ses deux villes préférées, elle rêverait de savoir parler français. quand elle s'énerve, elle évite de prononcer des gros mots et s'il lui arrive d'en laisser échapper un ou deux, ils seront toujours en espagnol, allez comprendre pourquoi.

coalition of one« Rosebury ? Vous êtes parente avec George Rosebury ? ». Cette question revenait comme un boomerang, à chacun de ses déplacements, à chacune de ses entrevues. Qu'est-ce qu'elle croyait ? L'anonymat et les Etats-Unis sont deux concepts diamétralement opposés. Tout le monde connait son patronyme mais tout le monde ne la connait pas elle. Quoiqu'il en soit, elle acquiese d'un signe de tête et ce simple geste lui permet de ne pas faire la queue pour grimper dans l'avion qui l'emmène à New-York. Ce week-end, elle rend visite à son père. Une visite mi-familiale, mi-professionnelle puisque le soir même, elle allait devoir accompagner son père à un dîner d'affaires au cours duquel il pourra l'introduire à ses investisseurs en tant que future et seule héritière de sa compagnie. Un rendez-vous au sommet donc, qui avait le mérite d'accaparer les pensées de la demoiselle. Arrivée à l'aéroport de New-York, soucieuse de son dîner du soir, elle percuta de plein fouet un homme, faisant s'éparpiller le contenu de son sac sur le sol. Elle sentait le rouge lui teinter les joues. Se confondant en excuse tandis que le jeune homme lui rendait son téléphone, elle hâtait le pas en direction de la sortie et hêla un taxi qui la conduirait jusqu'au Plaza Hotel, lieu de son rendez-vous du soir. Son père y avait louer une chambre pour que sa fille pose ses valises et dispose du temps nécessaire pour se préparer à leur entretien. Habituée au luxe de ce genre d'endroit, Katarina n'y faisait presque plus attention et se contenta de sortir le strict minimum de sa valise pour se préparer et sortait la robe que son père avait acheté spécialement pour elle pour l'occasion. Une Valentino. Un classique. Un classique à deux mille euros qui ne sortira probablement plus jamais de ses placards. Enfin prête, Katarina emprunta l'ascenseur pour se rendre au Plaza Food Hall - restaurant gastronomique.

En sortant de l'élévateur, elle vérifie que sa carte de visite avec ses coordonnées est bien présente dans sa besace de soirée et elle manque de percuter un homme. « Deux fois dans la même journée, faut-il que je prenne une assurance ? » « Excusez-moi, on se conn.. » commence-t-elle en se retournant vers l'inconnu avant de se raviser et de le reconnaître. « Oh vous êtes le garçon que j'ai failli renverser à l'aéroport ! Décidément, je suis confuse, vous devez vous demander pourquoi on m'a mis deux fois sur votre route » plaisante-t-elle. « A vrai dire, je me sens plutôt chanceux » réplique-t-il aussitôt. Difficile de savoir s'il plaisantait ou non. Reste que si l'objectif était de faire sourire et de charmer Katarina, il pouvait considérer son habileté verbale comme une réussite. « Pour parler plus sérieusement, je vous offre un verre, vous me devez au moins ça » Sa franchise était pour le moins déconcertante. Il ne passait pas par quatre chemins mais c'était amusant, et Katarina détestait faire le premier pas, ce garçon marquait donc un point. Malheureusement... « Oh, ça aurait été avec plaisir mais je suis ici pour un dîner d'affaires, d'ailleurs je suis déjà un peu en retard » s'excuse-t-elle en s'éloignant avant d'être arrêtée dans son élan par la main de l'inconnu qui attrape la sienne pour la retenir. « Pardonnez mon obstination mais disons après votre dîner ? » « Il risque de s'éterniser » prévient-elle. « Je suis plutôt du genre patient. vous me trouverez près du bar à champagne » termine-t-il tout en s'éloignant avant qu'elle n'ait pu émettre une autre objection.

Le dîner se passa à merveille. Les investisseurs semblaient sous le charme de l'enfant unique Rosebury et ils n'étaient pas du tout contre l'idée d'avoir un jour à faire à elle pour toutes prises de décisions concernant l'entreprise familiale. Elle leur avait fait bonne impression et comme toujours, elle eut le droit aux compliments à outrance de son père, si « fier de sa princesse » comme il aimait lui rappeler. Il était tard dans la nuit, quasiment trois heures du matin quand les investisseurs prirent enfin congés. « Je te raccompagne jusqu'à ta suite ? » « Non, j'ai quelque chose à faire avant de rentrer me coucher » « Ce quelque chose, je le connais ? » « Papa, j'ai vingt-cinq ans » le réprimandait-elle en riant. « Vale vale, no preguntas ! » Elle riait de plus belle à l'imitation de son père. Elle aimait quand celui-ci faisait indirectement référence à sa mère. Dans ces moments là, elle avait l'impression qu'ils étaient encore mariés. Son père la prit dans ses bras et la salua une dernière fois avant de prendre à son tour congé tandis que Katarina ne perdit pas une minute pour se rendre au bar à champagne. Elle n'avait pas beaucoup d'espoir en jetant un coup d’œil à sa montre et pourtant, il était là, assis au comptoir. Il portait un costume flambant neuf. Elle était à peu près sûre qu'il s'agissait d'un Armani. Elle s'approchait doucement, glissant à son oreille lorsqu'elle fut assez près de lui. « Il n'est pas trop tard pour un Dom Perignon ? » « Il n'est jamais trop tard » se contenta-t-il de répondre en faisant signe au serveur, le sourire fixé au coin des lèvres tandis que Katarina prenait place à ses côtés. Les deux coupes posés devant eux, l'inconnu leva la sienne pour trinquer. « Si vous me donniez votre nom avant ? » demanda-t-elle doucement. « Warrens. Alexander Warrens » « Rosebury. Katarina Rosebury » l'imita-t-elle avant de cogner doucement son verre à celui d'Alexander. Elle s'attendait à ce qu'il lui pose la fameuse question du début à propos de son patronyme mais il n'en fut rien. Il lançait la conversation sur tout et rien à la fois et ils restèrent assis des heures à discuter, se quittant seulement au petit matin, à contre-cœur, sans savoir qu'ils allaient très vite se revoir.

four times around the sun- pseudo : sans pseudo fixe, vous pouvez m'appeler Kat luxe, calme et volupté ∞ KAT. 3150930628

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. - âge : dix-neuf ans. - pays : France. - commentaires/suggestions : très joli forum. - autres : luxe, calme et volupté ∞ KAT. 3060197402

- avatar : Blanca Suárez.

si un lien vous tente .. mp~~orn~~ez-moi

Je ne connais pas la demoiselle, mais elle est magnifique luxe, calme et volupté ∞ KAT. 102408789

Bienvenue parmi nous et je te la réserve luxe, calme et volupté ∞ KAT. 2965029540

Invité

Je ne connais pas le demoiselle, mais elle est très jolie, en tout cas bienvenue et bonne chance pour ta fiche.

Invité

joel, merci à toi pour ton accueil et pour la réservation
merle, je te retourne le compliment pour Bryden que je ne connaissais pas non plus merci à toi