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 | | Sujet: j'ai pas la gueule qui convient pour te jouer les "prince charmant" ► Chris. Sam 15 Nov - 16:39 | |
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« Ma gueule a moi m'foutait la haine, avant qu'elle ne te convienne à toi. »
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christopher abberline- nom complet : Christopher Leith Abberline. - âge, date et lieu de naissance : vingt six ans, 31/10/1989 - origines et nationalité : Américain du côté paternel et Russe du côté maternelle. - occupation : étudiant en dernière année de droit, futur avocat. - statut civil : célibataire/mariage arrangé avec Julia Wells. - traits de caractère : sérieux, jaloux, déterminé, charmeur, possessif, impulsif, ambitieux, attentionné, manipulateur, créatif. - aspirations et désirs : Chris souhaite devenir un brillant avocat et mener une existence paisible et agréable. Il est très attiré par l'argent et le pouvoir qui sont pour lui primordiaux. Les fantaisies sentimentales comme l'amour et l'amitié n'ont aucune place dans son quotidien. Chris aime dominer et il se positionne toujours comme dominant vis-à-vis des autres. Le jeune homme adore les femmes et il ne s'en prive pas bien qu'à ce jour il soit plus qu'intrigué par une jeune femme en particulier. - groupe : winter in my heart.mind over mattervous considérez-vous comme heureux ? quelle est votre définition du bonheur ? - Je pense que je suis assez heureux ! Je termine mes études et je vais bientôt entrer pleinement dans la vie active et un petit bonus j'ai une jolie fiancée ! Que demander de plus . À part quelques femmes, une cigarette et du champagne pour être encore plus heureux ? Ma définition du bonheur se résumerait à un pays "Russie". J'ai connu le bonheur durant mes études mais, cela est assez futile non . Après tout, tous ceux qui ont souhaité goûter au bonheur on finit par connaitre l'enfer sur terre. Alors, je préfère m'abstenir à donner davantage de détails sur cet espace qui est pour moi davantage artificiel que réel ! qu'en est-il de votre vie spirituelle ? quelle est son importance dans votre quotidien ? - Ma vie spirituelle ? Je pourrais vous citer les plus beaux poème et vous offrir les plus phrases du monde après quelques bières et un petit tour au pays des merveilles ! Je pense que l'abolition d'une spirituelle permet de vivre la vraie vie. Et non une vie que l'être humain s'invente pour se sentir vivant et heureux dans un quotidien plus tragique et lamentable. Après tout, le bonheur et la vie spirituelle ne dépendent qu'à une seule personne : l'être humain lui-même. L'homme peut créer sa propre vie spirituelle mais, également son propre malheur. C'est à lui de savoir ce qu'il souhaite réellement.
Christopher préfère qu'on l'appelle par surnom Chris. C'était un jeune assez charmeur et souriant mais, vous feriez mieux de vous méfier de lui ! Sartre affirmait que les enfants les plus sages devenaient les pires adultes et Chris n'échappe pas à la règle. Le jeune homme est un grand amateur de jeunes femmes et des plaisirs de la chair. C'est un bourreau du travail mais, également des cœurs. Il apprécie assez la solitude et la littérature française et anglaise bien qu'il ne montre pas son côté intellectuel et poète à tout le monde. Il adore l'argent et ne cesse de manipuler les autres pour mieux les dominer par la suite. Pourtant Chris n'est pas vraiment quelqu'un de mauvais. Il possède une part sombre qu'il cultive depuis sa plus tendre enfance. Le jeune Américain possède une sale manie, celle de passer la main dans ses cheveux quand une situation l'énerve ou le gène assez. Il a tendance à se mordre la lèvre pour provoquer ou charmer. Chris possède un fort caractère mais, également un tempérament de feu.coalition of one
Je n'ai jamais connu ma mère. Ma tendre génitrice est morte en couches comme mentionne son acte de décès. Très peu de mes proches sont au courant et c'est mieux ainsi. Je n'aime pas parler des morts et encore moins de cette femme que j'aurais dû aimer et pour laquelle je ne ressens rien. Je ne possède que ses origines russes et ses cheveux bruns. Bon nombre de psychologues vous affirmeront que la mort d'une mère impose un défaut affectueux mais, ce ne sont que des conneries ! On choisit de ne pas aimer par intelligence et non par envie et encore moins par tristesse. Épargné moi vos larmes de cœurs brisés qui ne croient plus en la chaleur des filles. Vous finirez toujours par souffrir à nouveau pour un autre cœur. Alors, que le mien est sans doute mort quand celui de ma génitrice m'a offert son dernier battement. Mon père n'a sans doute jamais accepté que sa tendre épouse offre sa vie à un être qu'il ne pourrait pas aimer. Je n'étais qu'un enfant mais, également ce monstre qui avait tué sa précieuse femme pour survivre. Sans doute aurait-il pu m'aimer et nous aurions pu soigner nos blessures ensemble mais, la haine est si immense qu'aucun de nous n'a su trouver le temps de pardonner.
Mon enfance a été très heureuse et épanouie. Elizabeth fut ma belle-mère très rapidement et cela me convenait. Je n'avais que huit ans quand ses boucles blondes ont frôlé mes joues. Cette femme trop jeune pour être mère m'a offert mes premiers émois amoureux lors de mon enfance et sexuels dans mon adolescence. Ses doux cheveux ne cessèrent de frôler d'autres parties de mon anatomie pour mon plus grand plaisir. Cependant, sa beauté fut égale à une rose. Éblouissante quand elle s'ouvre et s'épanouisse mais, tragiquement pathétique quand elle fane. Au fil du temps son corps que je trouvais plus qu’appétissant ne m'offrit plus aucun attrait. Sans doute avais-je trop aimé ou pas assez cette femme ? Notre relation se consuma doucement et chacun tenta d'oublier doucement cette aventure. Puis le lycée m'a permis de m'aventurer dans d'autres cœurs mais, surtout dans de nouveaux draps. N'imaginez pas que je suis un coureur de jupons. J'apprécie la compagnie de certaines femmes mais, je reste fidèle à la cigarette. Avoir des vices dès l'enfant vous paraît impossible n'est ce pas . J'ai commis mes premiers crimes quand je n'avais que 13 ans puis avec l'âge ils devenaient davantage complexes. L'art du mensonge et de la manipulation était mes cours favoris. Bien éloigné des terrains de sport je favorisais la russe et mon talent d'orateur pour m'épargner des situations plus que complexes. Quand cela ne suffisait pas je pouvais toujours user de mon argent. Quelle merveilleuse invention n'est ce pas ? Dites-moi qu'est-ce qui pourrait surpasser le pouvoir et la domination de l'argent ? Avec de simples chiffres assemblé à la suite vous pouvez avoir tout ce dont vous désirez même vos envies les plus inavouables vous seront offertes.
Étudier le droit en Russie, quelle brillante idée non . Plaider cette cause perdue à mon père m'a demandé trois mois intensifs de cours de comédie sans oublier le soutient de ma belle-mère. Je pensais naïvement qu'elle me portait un minimum d'affections pour me soutenir mais, avec le temps je pense qu'elle répondait seulement à la cruelle nécessité de m'exiler loin d'elle et de ses honteux souvenirs. Après la remise de diplômes je partis rapidement si ce n'est le lendemain même en Russie. Ma famille maternelle m'accueillit avec grand plaisir mais, je put remarquais un certain malaise. Chacun voyait en moi le jeune homme responsable de la mort de leur sœur et fille. Si certains la voyaient en moi d'autres préféraient instaurer une distance pour ne pas se heurter à cette dure réalité. Mes cousins et cousines se montraient attentionnés et généreux avec moi. Je ne pourrais sans doute jamais les remercier pour leur grande naïveté, leur demander de me couvrir en prétendant prendre des cours du soir alors, que je fréquentais les bars et maisons closes de Russie. Pourtant au fond de moi je put apercevoir ce qu'aurait pu être ma vie si ma mère avait survécu à ma naissance. L'amour que chaque membre de cette grande famille se portait mutuellement. Peut-être serais-je devenu un homme admirable et respectable et pas uniquement en apparence. Je fus rapidement intégré à cette nouvelle vie qui m'offrit de nouvelles sensations et de nouveaux vices que je n'avais jamais encore imaginer.
Anastasie ? Elena ? Arya ? Comment pourrais-je me souvenir de son nom ? Était elle brune ou blonde ? Il était tard et il faisait noir ! Et ma mémoire enrobée d'alcool rend mes souvenirs plus que confus ! Ma dernière année d'études fut plus que mouvementée. Malgré mes aventures nocturnes et mes mésaventures j'avais une grande détermination à réussir à obtenir mon diplôme pour devenir avocat. Seulement, qu'allais je devenir après cela . Devrais-je incarner le rôle du parfait petit homme heureux et épanoui ? Avoir une maison avec une pelouse toujours verte et la clôture blanche ne m'enjouait pas vraiment et même aujourd'hui cela ne m'attire pas ! Ce que je voulais c'était me perdre dans le corps d'une autre femme et le lendemain découvrir une autre femme... C'est ce qui était prévu mais, comme vous devez vous en doutez : rien ne se passe comme on l'imagine. Je n'avais pas prévu de rencontrer "Alaska". « Ce n'est pas ton vrai prénom hein . Non, parce que soient tes parents sont des espèces de peace and love et ils t'ont trouvé dans une poubelle soit ils te détestaient dès la naissance ! » rit l'homme beaucoup plus âgé que la jeune femme qui ne cessait de soupirer doucement. Je n'aurais sans doute pas dû intervenir. J'aurais mieux fait de me taire et de monter à l'étager en attendant ma fille de joie. Dans un élan de bonté je m'avançai vers eux. « Désolé mec ! Elle est déjà prisée par moi ce soir ! » affirmais je en saisissant délicatement le bras de la jeune femme et en déposant un lias de billet sur le comptoir en offrant un clin d’œil au client. « Tu devrais mieux choisir tes clients. » lançais-je en desserrant mon emprise et en partant à l'étage. Seulement, à peine avais je monte quelque marche qu'une douce main me saisit. Ses lèvres rouges tremblèrent et à ma grande surprise ma main ne put se défaire de la sienne. Nous n'avons rien fait cette nuit-là. Elle s'est contenté de s'allonger contre moi et de s'endormir. Depuis combien n'avait elle pas dormi ? Peut-être était elle muette ? Mon cœur se mit à battre lentement face à cette créature ne m'inspirant aucune pitié ou révolte mais, une simple envie de la protéger. Qu'est-ce que j'aurais aimé qu'elle soit muette ! « Alors, tu sais ce que ce connard m'a fait !? » Ne cessa de répéter Alaska en ondulant des hanches. C'est fou ce que j'avais envie de lui saisir ses lèvres pour la faire taire. « Bon... tu te décides à me suivre ou pas ? Après tout tu sais ce qu'on dit ! La seule manière de résister à la tentation, c'est d'y céder. » Répliqua la jeune femme en m'offrant un sourire charmeur accompagné d'un clin d’œil. « Tu t'es trompé. » finis-je par lui dire en souriant. « Quoi ? » demanda-t-elle en ne comprenant sans doute pas ma remarque « Ce n'est pas la bonne citation. » en lui lançant un regard charmeur « Quand tu auras trouvé la bonne formule... peut-être qu'on passera un nouveau moment ensemble ? » Lançais-je en souriant et en lui offrant un clin d’œil. Alaska était entré dans mon quotidien russe. Il ne me restait plus que quelques semaines avant la date finale de mes examens. Pendant mes révisions Alaska se présentèrent devant la porte de mon appartement et récitèrent telle une promesse en me regardant dans les yeux « La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder ». Nos lèvres se rencontrèrent et nos corps s'enlacèrent tel un poète rencontrant sa muse. Les jours passèrent et j'appréciais sa compagnie. Je pris de la joie à lui enseigner une telle leçon d'anglais et poèmes français signés de la plume de Baudelaire. Mais, telle une fatalité ma charmante compagne ne perdit pas de temps à me décevoir.
Un désastre ? Une honte ? Cela ne fut que des euphémismes pour expliquer la situation dans laquelle j'avais conduit la famille Abberline. Je regrettais de ne pas avoir eu de jumeau ou même de demi-frère. Au moins, j'aurais pu m'excuser en affirmant qu'un autre successeur pourrait devenir facilement l'héritier mais, non. J'étais son unique enfant et il me punissait de n'être qu'une erreur. J'aimerais tellement obtenir une conversation avec l'homme qu'on nomme destin. J'aurais de nombreuses choses à lui faire part mais, avant cela je me ferais un réel plaisir à lui cracher à la figure et à me révolter. Mon retour sur le sol américain fut brutal mais, nécessaire. Mes études inachevées allaient attendre quelques mois avant que je passe mes derniers examens. Ma tendre est chère Alaska, si tel était vraiment son prénom s'était empressé de parler de notre relation aux journalistes américains. Très vite mon amourette avait fait la couverture de nombreux journaux politiques mais, également le tour de nombreuses familles fortunées me percevant comme la honte et l’impureté de la bienséance. Si ce n'était qu'une histoire de cœur cela n'aurait sans doute pas provoqué les larmes trop dramatiques de ma belle-mère mais, mon père se réserva le plus grand plaisir à m'annoncer qu'Alaska était enceinte et qu'elle portait mon enfant. Bien sûr en respectant la volonté de mon père et en acceptant une somme d'argent elle avait accepté d'avorter sans protestations. Une haine parcourut mon corps. Encore une fois il avait réussi à dominer ma vie et j'avais échoué. Encore.
Julia. Prénom simple pour une fille qui n'avait sans doute jamais connu la décadence ni était plus loin que les positions sexuelles de bases. À me penser j'émis un léger rire qui provoqua un regard assassin de la part de mon géniteur. Elizabeth qui se faisait âgée pour être mère me confia que ce n'était qu'un arrangement et que cela permettrait à notre famille d'obtenir une nouvelle crédibilité. Après tout comment le nouvel héritier des Abberline pourrait avoir une si mauvaise image ? Je ne connaissais absolument rien de cette fille et je ne l'avais jamais vue. Je l'imaginais assez petite, avec des lunettes et un air d'intello mais, pas vraiment du genre séducteur non. Plutôt une femme-enfant, ne cessant d'espérer se trouver son prince charmant. Puis elle apparut et une partie de mes hypothèses se révéla exacte. Elle attendait son prince charmant et apparemment elle venait de le trouver en moi. Julia devenait ma fiancée en d'autres mots je devais faire attention à ne pas lui exposer mes prochaines conquêtes et je devrais veiller à ce qu'aucun autre n'ose poser ses mains sur elle. Après tout dans quelque temps elle serait ma femme. Au cours du dîner elle ne m'adressa pas la parole directement mais, je put remarquer ses regards discrets. Avec un grand amusement je pris plaisir à frôler ses pieds, ses jambes avec la douce pointe de mes chaussures. Observer la surprise sur son visage, voir des rougeurs apparaître et cette étincelle de malice. Après, tout j'allais peut-être m'amuser davantage en sa compagnie qu'avec les autres jeunes femmes avec qui j'avais déjà joué. Julia serait une nouvelle poupée à ma collection mais, celle-ci serait au centre de toutes mes attentions. Après, tout qui n'aimerait pas jouer avec une jeune femme ayant cette étincelle de folie ?
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Dernière édition par Christopher Abberline le Sam 15 Nov - 19:31, édité 8 fois |
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| | Sujet: Re: j'ai pas la gueule qui convient pour te jouer les "prince charmant" ► Chris. Sam 15 Nov - 17:00 | |
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| | Sujet: Re: j'ai pas la gueule qui convient pour te jouer les "prince charmant" ► Chris. Sam 15 Nov - 19:03 | |
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| | Sujet: Re: j'ai pas la gueule qui convient pour te jouer les "prince charmant" ► Chris. Sam 15 Nov - 19:15 | |
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| | Sujet: Re: j'ai pas la gueule qui convient pour te jouer les "prince charmant" ► Chris. Sam 15 Nov - 19:34 | |
| J'attend l'avis de Julia avant de valider | |
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| | Sujet: Re: j'ai pas la gueule qui convient pour te jouer les "prince charmant" ► Chris. Sam 15 Nov - 19:46 | |
| comme on dit, le meilleur pour la fin  je te l'ai déjà dit, c'est parfait  je donne mon accord avec joie ! | |
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Joel Hallward
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| | Sujet: Re: j'ai pas la gueule qui convient pour te jouer les "prince charmant" ► Chris. Sam 15 Nov - 19:49 | |
| Alors je valide avec plaisir  | |
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| | Sujet: Re: j'ai pas la gueule qui convient pour te jouer les "prince charmant" ► Chris. | |
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