⊹ TIES THAT BIND
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

 

 (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse.

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Invité
Invité




(agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. Empty
MessageSujet: (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse.   (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. EmptySam 15 Nov - 21:04



abominable cécité.
© tussanus postea/abcdextasy
agathe rhodes

- nom complet : Rhodes, le seul héritage de sa mère. Détestant son père depuis toujours, elle a décidé de garder le nom de sa mère refusant d'être associé à celui qui l'avait pourtant conçue. Elle s'est battue pour que le nom Jehannie n'apparaisse plus sur ses papiers d'identité. Elle ne voit plus grand monde du côté de la famille Rhodes, et pourtant elle se sent plus proche d'eux que jamais. Agathe, un prénom choisis par la douce mère. Elle trouvait qu'il avait une résonance angélique. Trois syllabes d'une douceur qui renvoyait à celle de sa défunte mère. Son père avait voulu l'appeler Océane, mais la femme au ventre rond avait été plus forte que son mari.  - âge, date et lieu de naissance : Elle est née il y a aujourd'hui vingt-trois ans durant le Samedi de Lazare. Sa mère avait souffert tout au long du carême mais l'avait tout de même respecté. Elle est par ailleurs née dans un petit quartier malfamé de Paris, en France. Une pure française. - origines et nationalité : C'est une française de pure souche. Son père est né dans la capital et a passé sa vie dans le milieu propre aux parisiens. Sa mère, au contraire, est née dans un petit village du sud de la France. - occupation : elle est étudiante en art et dessinatrice pour des livres d'enfants quand le cœur lui chante. - statut civil : célibataire depuis bien longtemps, elle a trop peur de la gente masculine. - traits de caractère : muette - sensible - souriante - drôle quand elle le veut - adorable - timide - naïve - peureuse - curieuse - virtuose quand elle tien un crayon dans sa main - personne de confiance - solitaire - parfois paresseuse.  - aspirations et désirs : son vœu le plus cher serait de retrouver sa douce voix, mais surtout sa douce mère. - groupe : WINTER IN MY HEART
mind over matter
vous considérez-vous comme heureux ? quelle est votre définition du bonheur ? - Je ne peux pas réellement parler de bonheur. J'ai été heureuse il y a bien longtemps, aux côtés de ma mère, cette femme qui m'a tout appris et de mon père. Cependant un malheureux accident m'a enlevé la personne qui comptait le plus pour moi, et ma belle voix. Alors, non, je ne suis pas heureuse. J'aime mon travail, j'aime les études que je suis chaque jour, j'aime ce qui m'entoure. Mais tout cela n'est pas assez pour combler le grand vide qui s'est créé au fond de mon cœur. Chaque soir, je joins mes deux mains, et je pris intérieurement, je demande à Dieu de me rendre tout ce qu'il m'a pris. Il m'a pris mes derniers souffle de vie, avant même que je ne puisse en humer l'odeur, ou en déguster le gout. Vous me direz "relativise, il te reste ton père." mais figurez vous que je préférerais qu'il soit parti en même temps que ma pauvre mère. qu'en est-il de votre vie spirituelle ? quelle est son importance dans votre quotidien ? - Rien n'a plus d'importance dans mon quotidien. Il n'y a plus que mes dessins qui m'importent, rien de plus. Si vous voulez tout savoir, ce qui me sauve reste la religion. Ma défunte mère m'a élevé ainsi, j'ai grandit et vécu selon les préceptes de la bible. Et même si Dieu m'a retiré ma seule raison de rester en vie, je lui dois fidélité, pour tout les bons moments que j'ai passé avant ce terrible accident. Je suis catholique, pratiquante, et même si je ne peux pas chanter à la messe, j'y assiste pour me sentir mieux.
Agathe, elle est instable. Inconstante et éternellement perturbée. Elle penche sitôt d’un côté que l’autre l’attire. Elle est attirée vers le bas, un poids accroché à son mollet atrocement molesté. Elle trouve le mal plutôt pas mal. Lunatique. Bipolaire. Elle est heureuse même dans ses moments de malheurs. Ou bien est-ce l'inverse. Elle est tombée bas, mais elle creuse encore. De ses ongles meurtris elle griffe la terre pour creuser sa propre tombe. Ses passions l'y oblige. Elle recherche la médiocrité et les déjections de Satan. Elle est morne, elle est morte, mais elle l'est avec brio. Sa vie entière respire le chaos, elle est ainsi. Elle a goutté à la mort et elle lui a laissé un arrière gout bien amer. Voilà pourquoi elle vit ainsi, à reculons, pourquoi elle ne se souci pas des conséquences. Mais c'est aussi un petit bout attachant. Elle est tête en l'air et se retrouve parfois dans des situations foireuses à cause de cela. Elle est maladroite. Parfois blessante, parfois sarcastique. C'est une demoiselle qui n'a pas sa langue dans sa poche, du moins cela c'était avant qu'elle ne devienne muette. Elle ne vit pas bien la mort de sa mère et encore moins bien la perte de sa voix, elle a souvent pensé au suicide mais s'y refuse par respect pour celle qui l'a mise au monde et qui veut la voir continuer.


coalition of one
« Vos désirs font désordres. »

Cette douleur incessante. Le bruit que provoque ses poings serrés sur ta peau lisse. Les hurlements de rage. Le claquement de sa ceinture contre ton corps de femme à peine pubère. Tu n'y survivra pas bien longtemps, tu en étais certaine. Tu ne savais pas exactement quand tout avait déraillé. Lui qui était si doux autrefois. Tu te souviens encore quand, enfant, il te portait dans ses bras en te chantant une berceuse lorsque tu te faisais mal, pleurais ou trébuchais tout bêtement. Il avait une douceur incommensurable dans ses gestes, "ma petite princesse", c'est ainsi qu'il t'appelait. Un papa poule. Le genre à ne voir que par les yeux de son enfant et le parfum de sa femme bien aimée. Celui qui ramenait des fleurs à sa femme et des poupées barbie à sa progéniture. Il avait sa reine et sa princesse. Mais, par un instant malheureux, le roi avait perdu son trône. Il avait perdu son emploi et cela l'avait rendu fou, violent. Dans ces moments là, tous le monde auraient réagit de la même manière. Du moins, c'est ce que tu te répètes pour ne pas perdre les pédales. La bouteille. L'alcool. Un ennemi redoutable que ton père avait dompté avec une facilité époustouflante. Les démons de la bouteilles l'avaient embraquaient dans leurs filets pour faire de lui un homme orgueilleux, un homme amer, un homme violent. Un homme que tu détestes à un point inimaginable.

Une fois de plus il te malmenait, une fois de plus tu subissais ses coups sans rien pouvoir dire. Un filet de sang coulait vaguement au coin de tes lèvres. Une seule chose avait changé. Un petit détail rendait la situation différente en bien des points. Pour une fois, la première fois de ta vie ; tu avais répliqué. Avec la force suffisante pour abattre un âne, endurci par le taux élevé de cette chose fascinante qu'était l'adrénaline ; tu frappais. Ton poing serré à t'en faire saigner la paume de la main s'abattait avec fracas sur le visage de ton père dans un bruit effrayant. Un bruit de terreur, l'os qui se brise. Une vie qui se brise. Car tu savais, qu'il n'en resterait pas là. Il se vengera. Tu ne savais pas quand, tu ne savais pas comment ; mais il se vengera tôt ou tard, quel qu’en soit le prix. Il avait le regard mauvais. Incapable de le soutenir, tes prunelles claires fixaient le sol avec une honte infondée. Tu savais que ça allait être ta fête. Par pur réflexe, tu caressas ta cicatrice la plus récente du bout des doigts, en te disant, inlassablement que ça ne sera sûrement pas la dernière. Il te détruisait peu à peu. Cette sensation d'os brisé, ce gout de fer dû au sang entre tes lèvres, tu ne connaissais que trop tout cela. Il fallait que ça cesse. Cela devenait insupportable pour ton petit être. C'est donc paupière fermés que tu te replias sur toi-même, en position fœtale. Tu n'avais que seize ans et rien pour te défendre. Mais tu avais une solution, l'ultime solution, t'enfuir. Cependant, tu ne pouvais pas. Il n'y avait pas que ta vie en jeu, il y avait également celle de ta mère. Une mère qui ne survivrait pas à ta fugue, et tu refusais de la laisser seule avec ce monstre.

« Elle porte des rubans qu'elle laisse s'envoler,
elle me chante souvent que j'ai tort d'essayer de les retenir. »


L'alcool empestait l'air. Cet odeur putride t'empêchait de respirer convenablement. Voilà quelques mois que ton père avait retrouvé son job, il était à la tête d'une grande entreprise, et les affaires allaient plutôt bien. De quoi le remettre de bonne humeur, du moins toi et ta mère l'espériez. Il était environ 21h30 lorsque la voiture s'embarqua dans un tunnel. L'obscurité faisait du bien à tes yeux, tu commençais à somnoler peu à peu et cela te faisait un bien fou d'avoir un semblant de repos. La soirée avait été éprouvante et tu n'avais qu'une envie ; te coucher et dormir. Tes deux parents -et toi- aviez assisté à un grand buffet organisé par la société partenaire à celle de ton père, vous deviez à tout prix faire bonne figure pour que tout se passe bien. Le tunnel se termine. Tu rouvres les yeux. Ton regard se pose sur ta douce mère, elle a l'air paisible, un léger sourire gravé aux lèvres et le regard doux comme à son habitude. Tu l'aimes tellement. Ensuite, tu regardes ton père, avec cependant beaucoup plus de rancœurs. Certes, il s'était repris et avait cessé de vous battre, toi et ta mère. Mais il restait les souvenirs, et tu ne pourras jamais oublier le bruit que produisait son poing fermé sur ta peau blanche. Ni les instants de peur lorsqu'il s'en prenait à ta chère mère. Ce soir là, il avait plutôt l'air bien. Il avait bu, bien évidemment en compagnie de ses collègues, mais raisonnablement. Même si tu avais du mal à le reconnaître, tu étais fière de lui. Tout allait pour le mieux. Tu pouvais sombrer dans un sommeil profond sans craindre que monsieur Jehannie ne lève la main sur toi. Te redressant légèrement, tu déposas un baiser sur la joue de ton père puis un sur celle de ta mère. « Je vous aime. » Et ce fus là tes dernières paroles.

C'est à cet instant précis qu'une voiture débarqua de nul part et vint heurter la votre. Cela se déroula bien trop vite, dans un fracas assourdissant. Les cris jaillirent, les larmes coulèrent, le sang pareillement. Tout ne fut que chaos puis, plus rien.

« Si deux tours manquent à New York,
mon amour toi tu manques à moi. »


C'était à la tombée d'un soir d'automne, en ces dernières années en France. Vers le sombre faubourg, des voitures, allumées, roulaient, attardées après l'heure préconisée. L'une d'elles s'arrêta devant le portail d'un vaste hôtel, entouré de jardins séculaires. Les lourds battants s'écartèrent. Un homme de trente à trente-cinq ans, en deuil, au visage mortellement pâle, descendit. Sur le perron, de taciturnes serviteurs élevaient des flambeaux. Sans les voir, il gravit les marches et entra. C'était ton père. Tu étais à côté, ta petite main tremblante dans la sienne. Certes tu l'avais détesté, mais aujourd'hui il ne te restait plus que lui. Un silence de plomb planait au dessus de vous alors que vous essayez tout deux d'oublier, de vous remettre du mal qui vous habitait. La mort d'un proche. Celle de ta mère. Quelques semaines auparavant, tu as vu ta génitrice s'éteindre. L'enterrement a duré quatre heures et tu as pleuré durant tout ce laps de temps. Il ne te reste plus de larme dans ton corps, tu as épuisé tout le stock disponible. Faible petite humaine que tu es. Tu sens pourtant tes yeux se remplir de larmes à nouveau. Chancelant, ton père monta les escaliers blancs qui conduisaient à cette chambre où le matin même, celle qui t'a mis au monde avait couché dans un cercueil de velours. En haut, la douce porte tourna sur le tapis; il souleva la tenture.

Tous les objets étaient à la place où la défunte les avait laissés. Durant tout ce temps, tu avais séjourné à l’hôpital et ton père était resté à ton chevet. Cela ne faisait que quelques jours que tu t'étais réveillée du coma, sans ta mère malheureusement. La Mort, subite, l'avait foudroyé. Elle avait succombé à ce piège fatal qu'est la vie. Et ce matin là, ses lèvres s'étaient brusquement mouillées d'une pourpre mortelle. A peine avait-elle eu le temps de donner à son époux un baiser d'adieu, en souriant, sans une parole, que ses cils s'étaient rabattu sur son regard. Comme un voile de deuil. Et maintenant que la journée sans nom s'était écoulée, tu allais enfin pouvoir trouver du repos. Tu t'avanças alors de ton lit et t'y allongea lentement. Doucement, il déposa un baiser sur ton front et remonta la couverte sur ton corps mince et frêle. « Il faut que tu dormes maintenant. Nous avons eu une dure journée. » Comment t'endormir alors que tu viens de perdre l'une des personnes qui comptait le plus pour toi ? C'est tout bonnement impossible. Tu as toujours été faible et fragile. Tu enroulas alors tes bras autour du cou de ton père en enfouissant ta tête dans ce creux si réconfortant. Une larme roule sur ta joue anormalement pâle. Et c'est dans les bras de ton père que tu te réfugies pour trouver un minimum de réconfort. Tu en as bien besoin, et lui aussi. Caressant ton visage lisse, il essuya tes larmes à l'aide de son pouce en te murmurant quelques mots. « On surmontera ça ensemble petite princesse, je t'en donne ma parole. » Il se releva ensuite et quitta la pièce. La nuit s'annonçait longue et maussade. Tu étais âgée de vingt et un ans, et pourtant tu avais l'impression d'être une petite fille qui avait tout perdu. Sa mère, sa faculté à parler, tout. Le médecin avait fait un diagnostic effrayant. Le choc de l'accident de voiture t'avais endommagé une partie du cerveau et par un destin malheureux, tu avais perdu l'usage de ta voix, tu ne pouvais plus parler, tu étais à présent muette. Tu étais cependant heureuse de t'être réveillée du coma, c'était déjà ça. Puis, il te restait tes cours, tes dessins, eux seront toujours là. Tu pouvais continuer à dessiner et c'était bien beau.


four times around the sun
- pseudo/prénom : abcdextasy, mais vous pouvez m'appeler Léa. - âge : dix-huit ans, la majorité. - région : rhône-alpes, ça sent bon le sud ! - commentaires/suggestions : bravo pour ce forum, c'est une vraie perle. - autres : je vous aime déjà ! - avatar : lindsay hansen





Dernière édition par Agathe Rhodes le Dim 16 Nov - 11:38, édité 11 fois
Revenir en haut Aller en bas
Joel Hallward
▲ THINK ABOUT THE GOOD TIMES
Joel Hallward


INSCRIPTION LE : 09/11/2014
MESSAGES : 136
AVATAR : Andrew Garfield
PSEUDO : Tyrells (Arianne)
CREDITS : rusty halo (avatar)
AGE : Twenty nine yo.

✻ HEAD IN THE SNOW
STATUT:
RELATIONS:
MULTINICKS :

(agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. Empty
MessageSujet: Re: (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse.   (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. EmptySam 15 Nov - 21:16

Je ne connais pas la demoiselle, mais elle est mignone (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. 2965029540
Je te la réserve pour une semaine et bienvenue parmi nous I love you
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




(agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. Empty
MessageSujet: Re: (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse.   (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. EmptySam 15 Nov - 21:18

Merci beaucoup ! (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. 102408789
Revenir en haut Aller en bas
Francis Hawking
HEART HAS REASONS THAT REASON CANNOT KNOW.
Francis Hawking


INSCRIPTION LE : 14/11/2014
MESSAGES : 431
AVATAR : sam claflin le magnifique.
PSEUDO : borealis. (clémence)
CREDITS : soapflaws, merci beaucoup.
AGE : vingt-six années.
ACTIVITÉ : interne en radiologie.
BUCKET LIST : CLARE ▲ rp ▲ rp

✻ HEAD IN THE SNOW
STATUT: single.
RELATIONS:
MULTINICKS : ruth et sinead.

(agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. Empty
MessageSujet: Re: (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse.   (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. EmptySam 15 Nov - 22:30

une demoiselle à tâche de rousseur! lyndsay est divine! quel choix (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. 2921512968
bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche ♥️
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




(agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. Empty
MessageSujet: Re: (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse.   (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. EmptyDim 16 Nov - 0:06

Sam (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. 2843306236
merci beaucoup ! (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. 1883794077
Revenir en haut Aller en bas
Sage Hallward
THE BLOOD OF THE STARS FLOWED IN HER VEINS
Sage Hallward


INSCRIPTION LE : 08/07/2014
MESSAGES : 473
AVATAR : zoey deutch.
PSEUDO : rusty, anaïs.
CREDITS : gallaghers/tumblr.
AGE : 22 yo.
ACTIVITÉ : waitress.
BUCKET LIST : travel, raise a kitten, go skydiving.

✻ HEAD IN THE SNOW
STATUT: slowly falling.
RELATIONS:
MULTINICKS : wf ◊ nc.

(agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. Empty
MessageSujet: Re: (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse.   (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. EmptyDim 16 Nov - 12:34

Quelle fiche ! Agathe est incroyablement touchante. (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. 2001797525 (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. 2001797525 Je valide avec plaisir. I love you
Bienvenue parmi nous. (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. 1226198186
Revenir en haut Aller en bas
https://crosswinds.forumactif.org
Invité
Invité




(agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. Empty
MessageSujet: Re: (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse.   (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. EmptyDim 16 Nov - 12:48

merci beaucoup ! ♥
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





(agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. Empty
MessageSujet: Re: (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse.   (agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
(agathe) la solitude n'est plus une maladie honteuse.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» il parait que l'océan chante (agathe)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
⊹ TIES THAT BIND :: REACHING FOR THE CLOUDS :: AS THE LIGHTS FADE AWAY-
Sauter vers: